Un homme lave une vitre.
En vérité, c’est peut-être son âme qu’il lave.
Et parce qu’il y engage toute son énergie,
le voilà bientôt profondément libre, au bord
des choses et du monde, en déséquilibre
parfait, et naturellement connecté avec l’un
des plus grands mystères de la constitution humaine : la part féminine.